Cette semaine, l’Inami se retrouve au cœur de deux signaux forts : d’un côté, 6.500 réactions ont afflué sur l’avant-projet de loi de réforme, dont une synthèse est attendue début 2026.
De l’autre, le Conseil général valide un plan anti-fraude 2026-2030 qui mise sur davantage de transparence et durcit les leviers de sanction. L'année qui vient sera décisive pour les règles du jeu entre l'État, les hôpitaux et les soignants.